Te voici arrivé à la première étape de ce qui, selon moi, constitue la base fondamentale de tout Héros en finances personnelles. C’est pourquoi je l’ai placée comme la première marche de la pyramide !
Une fois que tu auras débloqué le niveau 1, tu seras capable d’identifier tes faiblesses, de les ajuster au besoin, et même de reconnaître tes forces. Ce niveau te permettra d’avoir une vue d’ensemble de ta situation financière. Chaque marche franchie dans la construction de ton budget t’apportera des compétences concrètes qui te rapprocheront de la fin de ce premier niveau.
L’objectif ici est de comparer tes finances actuelles à un budget de référence, afin d’élaborer un plan d’action personnalisé. Ce plan pourra t’aider à :
- rembourser des dettes qui t’alourdissent et t’empêchent d’avancer
- ou à calculer les montants disponibles pour ton premier envol financier.
À cette étape, tu seras confronté à toi-même. Car derrière des concepts en apparence simples se cache souvent une profondeur insoupçonnée. Tu devras faire preuve d’ouverture envers toi-même et adopter un état d’esprit propice au changement.
Nous aborderons ensemble :
- Ton seuil de confort minimum
- Tes habitudes de consommation qui influencent ta santé financière
- Tes objectifs à court, moyen et long terme
- Ta capacité annuelle de placement ou de remboursement, selon ton plan d’attaque.
Une bonne gestion financière exige une maîtrise de ses émotions, car ce sont elles qui, bien souvent, sabotent notre portefeuille. Elles nous poussent à céder à la jolie robe ou à la voiture de rêve.
Les représentants aux ventes en sont un bon exemple : leur travail consiste à jouer sur les émotions du client, à trouver la corde sensible et à amplifier les sentiments positifs pour conclure une vente. Et on ne peut pas leur en vouloir — ils font simplement leur travail. Mais au final, c’est toi qui dis oui. Et parfois, ce "oui" t’engage pour 3, 4, 5, voire 7 ans.
Faire des dépenses, c’est normal, mais ne pas réfléchir aux conséquences avant d’acheter est une grave erreur.
